Mélanie Vazé Marie Pierre Tarascou et Philippe Maestri en pleine ascension !

Ce Jeudi de l'Ascension aura permis à Mélanie VAZE et Philippe MAESTRI de s'élever tout en haut du podium...confirmant au passage une classe intacte élégamment partagée avec Marie-Pierre TARASCOU

280 joueurs et joueuses à accueillir sur 1 seule journée par un temps pourri n'était pas une simple gageure...et pourtant la chose fut accomplie avec toute l'abnégation d'une équipe dirigeante dont on aurait aimé qu'elle soit encore plus étoffée tant elle fut sollicitée, coup sur coup, par le Souvenir de Nanie Peyras le 8 Mai et le championnat départemental Tête à Tête de ce Jeudi d'Ascension du 14 Mai...

190 jeux à confectionner et à répartir entre le Parc Lawrence et la Place de Verdun mais aussi tout un contexte inhérent à ces organisations usent les bonnes volontés, alors il n'est pas inutile de les remercier grandement une nouvelle fois...

Sportivement les 3 billets qualificatifs ont récompensé 3 des meilleur(e)s solistes du comité qu'on se plait à féliciter pour leur niveau de jeu, surtout par pareil mauvais temps...Quant aux représentant(e)s du club, comme souvent d'ailleurs, il est difficile d'être prophète en son royaume et cela s'est vérifié encore cette fois. Dommage pour Sophie Stade et Nathalie Larcade battues dans les 2 finales féminines mais elles conviendront que Mélanie et Marie-Pierre sont de très belles championnes et ne peuvent donc nourrir aucun regret...Bravo les Filles !

Les Garçons, peu inspirés à de rares exceptions près, même si on a vu quelques belles escarmouches dans un tableau relevé, pourront eux se consoler à divers titres mais n'empêche que le compte n'y est pas. Il est heureux que là aussi le spectacle offert par les 4 demi-finalistes compensa la déception d'un bilan "humide"...Les 2 finalistes Christian et Philippe ont suffisamment contribué au "feuilleton" du club pour savoir de quoi ils sont capables...et ça s'est vu !

2 magnifiques champions pour clore une journée où il n'aura manqué que le soleil mais l'épilogue, c'est certain, aurait mérité un tout autre contexte aux saveurs estivales...

Sophie Stade s'était adjointe un sophrologue patenté pour la circonstance...